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Préface Dans cet article, je vous fais part d’une dissertation rédigée dans le cadre du séminaire HST-659 Femmes et société à l’époque moderne donné par le Pre. Benoît Grenier en automne 2018 à l’Université de Sherbrooke. Intitulé « La « Dame de Pique » : Les femmes de pouvoir dans la mécénat et le patronage religieux aux…
Voir la publication >En 1946, Fanon entreprend ses études médicales à l’Université de Lyon. Parallèlement à son cursus, il choisit de s’orienter vers une licence de lettre et de sociologie. C’est véritablement à ce moment qu’il devient captivé par la philosophie et la littérature. Dans son portrait biographique sur Fanon, Alice Cherki souligne qu’il suit les cours du philosophe Merleau-Ponty[1] et ceux de l’ethnologue Leroi-Gourhan et qu’il « s’intéresse à l’ethnologie, à la phénoménologie, au marxisme, et aussi […] à l’existentialisme et à la psychanalyse. Il dévore les livres, et lit pêle-mêle Lévi-Strauss, Mauss, Heidegger, Hegel, ainsi que Lénine et le jeune Marx[2]. » Les débuts de Fanon en France ne sont pas nécessairement faciles. À Lyon, les sentiments d’aliénation, d’éloignement et d’isolement s’accentuent chez lui[3]. Non seulement il vit quelques difficultés à s’intégrer dans la communauté académique de sa faculté, mais il reste particulièrement distant et isolé[4].
Voir la publication >Introduction Dans le cadre de la Réunion annuelle de la Société historique du Canada (SHC), prévue entre le 27 mai et le 3 juin 2021 à l’Université d’Alberta, le professeur Patrick Dramé du département d’histoire a formé un panel composé des étudiants à la maîtrise David Bouchard et moi-même ainsi que des doctorants Thomas Vennes…
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